12.06.2009
Ciboure, petite soeur de St Jean de Luz...
Bonsoir à mes visiteuses et visiteurs, aux chafouines et chafouins délaissés par Jog, aux "nonobsien(ne)s" impénitent(e)s qui franchissent le seuil de ce blog... J'essaierai de trouver le temps de remettre ce blog à jour... En attendant, après une journée d'exploration des flores de reconquête ou de maintien des dunes d'Anglet et de travail studieux au Jardin botanique de Saint-Jean-de-Luz, cadres de travail reconnaissons-le assez merveilleux, surtout par aussi beau temps... voici ce que je vois de ma chambre d'hôtel, ici, ce soir à Ciboure. Avouons que j'ai du pot : chambre au cinquième, exposée à l'ouest donc tournée vers l'océan.
PS - Pendant que je vous écris... la lumière a déjà changé :
A très bientôt, donc.
PS - Pendant que je vous écris... la lumière a déjà changé :
A très bientôt, donc.
13.06.2009
L'océan cette nuit, ce matin, de ma fenêtre...
Eh oui, chère Etoile d'un jour, le téléphone a sonné ce matin et m'a tiré du lit ; cela venait de Sarlat, Périgord noir. Je me précipite... enfin, euh... je réalise que ce n'est pas le réveil mais un téléphone, où ? d'abord où suis-je ? A l'hôtel, à Ciboure, face à l'océan.Je me plante devant la fenêtre, et je prends "mon" océan, "mon" port de Ciboure (en fait au débouché de celui de St Jean-de-Luz). Mais avant cela, comment était-ce hier soir ?
Ce matin :
Voilà. Je vous laisse. Mon blog n'a pas été mis à jour : suite de Montmartre, l'oulièyre de Castelnau, le sasafras de Solférino... Mais ça viendra. Là, je vais retourner au jardin botanique de St Jean-de-Luz... "travailler". A partir de ce soir : tourisme pour 24 heures.
14.06.2009
Images éparses en Abbadia
Après une matinée de crapahut et d'herborisation, nous étions remontés du chemin des gabelous, pardon : du sentier littoral, vers la route de la corniche basque, au-dessus d'Hendaye, car nous avions rendez-vous à midi au chateau d'Abbadia. Oubliant probablement que nous étions samedi ; e viva Espana !Quant à la patrouille de France hier, en fin d'après-midi dans le ciel luzien :
14.06.2009
Crépuscule luzien
D'abord corriger un... détail. Le "port de Ciboure" de mes photos prises de ma fenêtre de chambre d'hôtel à Ciboure est en fait le port de plaisance de Saint Jean de Luz, en partie sur Ciboure.A droite, vous avez reconnu ce promontoire, sommet fréquenté par des milliers de touristes chaque année, atteint soit en randonnée, soit par le train à crémaillère : LA RHUNE.
De la Nivelle vers le port...
16.06.2009
La Fête-Dieu à Ciboure
J'accepte la remarque qui m'a été faite au sujet du titre d'un précédent post montrant quelques images de nuit de Saint-Jean-de-Luz, images sans intérêt particulier. Le "particulier" avait sauté.
Dimanche je suis donc parti me promener dans Ciboure. Petite soeur de St Jean, en réalité même agglomération de pêcheurs, c'est la Nivelle qui les sépare, c'est tout.
Mais l'intérêt de s'enfoncer ainsi dans Ciboure est d'échapper aux troupeaux de touristes et de promeneurs et de retrouver le calme des villages et bourgs basques. Ce que je viens d'écrire peut sembler "élitiste", quelque peu, euh... disons "raciste" (anti-touristes). Ce n'est pas le cas, mais plus simplement une manifestation de mon égoïsme de contemplatif...
Comme je le voyais de ma chambre d'hôtel (cf posts précédents), cette partie du port est bien , au-delà de la plaisance, la sortie vers le grand large des flottes luziennes.
Mais, à côté, dans Ciboure : le calme, la rue d'un petit bourg du Pays basque :Et, là, d'une rue descendant de la colline (retraites rêvées... mais un immobilier qui s'est envolé vers les années 80), du foin, du beau foin frais, odorant :
Quoi ? Qu'est-ce ? Suivons ce chemin de fenaison :
Visiblement, cela nous mène à l'église
D'ailleurs, j'entends les fifres et les choeurs basques
C'est la Fête-Dieu (mon Dieu, me reviennent mes souvenirs des processions dans mes collèges religieux...) Eglise basque, magnifiques galeries et tribune ici aussi Ville de marins, maisons des XVIIIème et XIXème siècles portant l'ancre de marine en bas relief Allez, au bout : l'océan, et la route qui mène à Socoa. Ah, oui ! Du bout du port, j'ai voulu voir "mon" hôtel, et mieux comprendre dans quel alignement j'étais pour voir ainsi les bateaux sortir du port (ma fenêtre était juste au-dessus du E et du t de Etap) :
La forme, c'est dimanche (c'était avant-hier), le téléphone a sonné... depuis Sarlat !...